Paysages comestibles

Imaginez. Imaginez un lieu ombragé, vivant, fonctionnel, public et fréquenté. Un lieu où l’on discute, échange, et prend le temps. Arpentons ce lieu un bel après-midi d’automne. En famille, entre amis, à vélo, en rollers, en trottinette. Ou pourquoi pas, en vacances. En chemin, on trouvera des archipels de pommier, poiriers, cerisiers, néfliers du japon, noyers, châtaigniers, noisetiers…

Un projet sur la voie verte Paris-Londres

Ce lieu existe, c’est la voie verte PARIS-LONDON. Il ne tient qu’à nous, acteurs de l’environnement sur notre territoire, de réunir nos forces pour que la vision devienne réalité.

Paysages comestibles
Paysages comestibles

C’est ambitieux ? oui. Impossible seul.e ? aussi. Dispose-t-on d’assez de temps ? Eh bien, en moyenne, un Français passe 4h30 par jour sur un écran.

Le chemin sera sans nul doute autant, voire plus enrichissant que le but !

Comment faire ?

la première phase consiste à recruter et recenser les assos prenant part à ce projet. Les informations sont centralisées par Guillaume

Une démarche collective proposée

Après avoir réunit un collectif d’association, nous déciderons d’une organisation ad-hoc pour les étapes suivantes, ensemble. Ce qui suit est une proposition :

  1. Le collectif ainsi formé décide de la fréquence des rencontres inter-assos.
  2. La voie verte est découpée en portions. Chaque portion est entièrement du ressort d’une seule et unique asso. Chaque asso évalue les espaces utilisables, et mène une étude topologique en croisant les cartes géologiques et le cadastre. L’étude topologique réalisée, l’asso réalise une étude de sol simple, incluant la texture, la structure et les horizons. Les écoles, collèges, et mairies voisines de la portion sont informés du projet.
  3. Quand toutes les zones à planter auront été déterminées et les études préalables réalisées, une synthèse de toutes les données via un logiciel de Système d’Information Géographique est nécessaire.
  4. La synthèse réalisée, le moment sera venu de contacter les pouvoirs publics (Département, Agglo), et de soumettre l’ensemble de notre projet. Dans une clause de chaque convention, chaque asso est rendue responsable uniquement de l’entretien des arbres plantés (taille hivernale, pour les essences qui la requièrent). Il est aussi possible d’approcher le collège agrosciences d’UniLaSalle pour proposer notre projet comme projet de master.
  5. Une fois les conventions signées, et les dernières corrections apportées à la composition de chaque archipel, il est temps de passer à l’implémentation.

Deux options selon le budget

Nous disposons de deux options, que nous pouvons panacher suivant la disponibilité de budgets dédiés

Zéro budget

Pas de budget necessite de faire appel au temps et ressources non monétaires des citoyens, sous l’égide de chaque association :

Subventions ou mécénats disponibles 

Des achats en pépinières locales sont possibles pour une implantation l’an 1, de mi-janvier à début mars.

Les impacts de ce projet 

Pour conclure, voici une liste non exhaustive des impacts de ce projet :

  • La pédagogie, en initiant les élèves aux techniques du vivant.
  • La transmission du savoir et les échanges intergénérationnels.
  • La conservation d’un patrimoine génétique, fruit du travail de nos aînés sur le territoire.
  • Les multiples fonctionnalités de l’arbre, immanentes à cet organisme vivant.
  • Cerise sur le gâteau, le tourisme à vélo sera stimulé par les paysages comestibles.

Ce projet vous interesse ?

Envoyer un mail à Guillaume languedoc.guillaume@hotmail.com